If you have been a university president, a political party leader, a team manager or in any institution, you know what Clay Shirky is talking about.
Here is my example of what challenges institutionalization entails and how technology is allowing us to revolutize institutionalization.
For almost the past three years, I have been living at the Cité Universitaire, a campus that is home to 6000 odd foreign students who come to Paris to pursue higher studies. There are 40 student residences, most of which represent a country..Mexico, US, Morocco, Japan, Norway, India..all the countries are symbolically represented on the campus.
At the beginning of each academic year, each house elects a students committee that is responsible for organising cultural, sportive and educational events in order to ensure a good time for the residents. Each committee has two secretaries for external affairs. This person represents his or her house at the Delegation of the Residents' Committee that reunites once every month in the presence of the General secretary of the campus in order to discuss important issues related to the life at the campus. If all the appointed Secretaries were to be present at all the monthly meetings, that would make for a group of 40X2 = 80 secretaries. 80 secretaries representating 6000 students. In mathematical terms, one person represents 75 people at the centre.
Now, out of these 80 representatives, 4 memebers are elected - two of which represent the students at the biannual Board of Directors meeting and the other two serve as deputies in case of absence of either of the members. As one of the elected members, I found myself at he centre of the institution. We did not really have infrastructure costs..meeting halls could be booked free of charge, internet was free, etc etc.. but we had, what I would call,mobilisation costs. The energy that we would put to mobilize team members to participate actively in projects initiated by the core group, was enormous. How would you convince 80 people who have been arbitararily elected to sit around a table to discuss things?I emphasize on the word - arbitarary because more often than not, the person who is elected finds himself at the seat by chance because there are not many people contesting anyways.
So, I asked myself - What if there was no delegation? What if each resident of the campus could participate in a virtual village to represent his proper self? You would say it would e a ciaos but technology is the answer. Everyone could tag his opinion on a subject and a holistic chart could be drawn to figure out what the majority thinks. A representative democracy?
What I could conclude during my tenure is that this system does not really work...to institutionalize things necessarily means excluding some of the best people, best inputs because you cannot take everybody in.what a pity!!
I was still a little girl during the years of the Gulf War 1990.
While doing shopping in a supermarket, my parents made it a point to buy a considerable amount of canned foods which was not the norm in our house. I asked my father "Why we were buying canned foods?" My father explained that it was to prepare ourselves in case there was a curfew or the situation aggravated and we had to quit our homes without preparation. A thought struck my mind, and I said "How wonderful it would ,have been if God created storage boxes in our stomachs, so one would have enough food supply in times of war. My father said "God didn't create war, so he didn't think storage boxes in our stomachs were necessary." Ever since, I think more than often that the world as it was conceived by the Seigneur must have been a very self-sufficient and close-to-perfect world...and every human activity that lead to it's progress has tried to imbalance the harmony of the planet, in more than one way..
Lets take environment for example...an issue all the countries are struggling hard to resolve. Mineral water bottles, cola cans, plastics containers...majority of the household waste comprises of things that come from packed foods. Primarily, it was fruits that grew on trees that were made for consumption by man. Fruits leave no waste, the only inedible thing is the seed that gives more trees once sown in the earth's womb.
Yes, infections, deadly diseases were the norm then. Early man had to struggle to save himself from predators. But death must have been more subtle, more easy, more instantaneous. The use of drugs that help treat people increase the life expectancy actually degrade the quality of life. In early itmes, man did not go through this phase, or if he did, it was quite short.
.......to be continued
1. emmanuel3927naaa le 15-08-2008 à 17:05:13
la reflexion est brillante. l'homme est paradoxal par essence. pour faire la paix il déclare la guerre...l'homme cherche à s'échapper des lois de la nature et atteindre la perfection qui n'existe que dans l'imagination. par cette recherche de s'acquitter des dettes qu il a envers mère nature il s'exonère a court terme mais à long terme la nature qui est l'expression de la divinité elle meme le somme de payer ses dettes. l'homme n 'a pas cette vision à long terme contrairement à l'animal. l'homme est donc plus bas que l'animal qui vit en harmonie avec son environment.
2. emmanuel3927naaa le 20-08-2008 à 12:50:10
ainsi préconiser se retour à l'état primaire pour sauver l'homme de la dégénérescence me semblerait une excellente conclusion.
3. Yogesh le 09-07-2009 à 10:04:54
its very nice!!!!
La propagande est une méthode parfaitement consciente mise en place par un organisme collectif ou un individu afin de susciter, d’entretenir et de répandre dans les masses les principes, la foi et la mystique crée autour d’un idéal en utilisant tout l’ensemble des moyens de persuasion disponibles.
- Anonyme
Souvent mené par de capitalistes ou des étatistes pour satisfaire leurs propres intérêts, le but de propagande consiste principalement à forger des convictions inébranlables dans la conscience de la foule. Dans l’idéal, il faut que les moyens d’information soient accessibles et indépendants et que l’ensemble de citoyens participe efficacement à la gestion des affaires qui le concernent. Mais les élites, reconnaissants du fait qu’un tel modèle peut être très dangereux pour eux ne laissent pas aux gens l’occasion d’exercer sa violence. C’est à cette fin qu’ils envisagent à fixer, à travers la propagande, l’attention de la masse sur un petit nombre de faits, d’évènements et de nécessités, souvent triviaux, tout en limitant son champ de conscience ainsi que sa faculté de raisonner. C’est là où se trouve l’origine de la fabrication de l’opinion publique.
L’étendue de la propagande est tel que même les démocraties, en dépit de leurs préventions et de leurs répugnances, n’ont pu se dispenser complètement de toute propagande. Noam Chomsky, dans son livre « la Fabrication de l’Opinion Publique » dévoile à travers plusieurs exemples concrètes une dense politique de la propagande mise en place aux Etats Unis. Habib Tanvir, grand écrivain indien fait le même dans le contexte de l’Inde, la plus grand démocratie du monde. Selon un sociologue belge, « La propagande est à la société démocratique ce que la matraque est à l’Etat totalitaire »
Tout l’appareil de la vie moderne exerce sa pression sur nos comportements. Nés dans une société où la propagande est déjà bien implantée, notre génération sans en prendre peut être bien conscience, a vu s’étendre prodigieusement la contagion des conformismes. En conséquence la démocratie progressiste perd son sens et l’Etat s’oriente plutôt vers le totalitarisme.
Pour éviter une telle fabrication de l’opinion publique, il faut mettre en place un modèle de communication qui soit en rupture avec celui qui existe. Selon M. Jean Guitton, les institutions sont filles des idées, des sentiments et des mœurs du peuple d’un pays. On ne modifie pas profondément la vie politique, économique et sociale d’un pays rien qu’en changeant ses institutions. Se mettant d’accord avec ce philosophe français, nous dégageons qu’un changement structural des grandes institutions – L’Etat, les médias et l’Ecole est primordial afin de bouleverser la politique obscure de communication existante. D’ailleurs, seule une certaine propagande humanisée au service d’un idéal de liberté peut servir comme un outil de défense contre la propagande qui existe. Cette propagande passionnée, enthousiaste et communicatif de la liberté peut puissamment contribuer, sans doute, à nous rendre le sens des disciplines nécessaires et également à nous fournir les moyens de résister à l’assassin de toutes les forces niveleuses en permettant le remodelage des institutions.
Le remodelage de l’Etat
Lorsqu’elle est appuyée par l’Etat et qu’aucune dissidence n’est pas permise, la propagande peut avoir des effets considérables.
- Noam Chomsky
L’Etat peut jouer un rôle incontestable dans la fabrication de l’opinion publique. En faisant des rapports intimes et clandestins avec des puissantes sociétés financières, l’Etat se transforme très vite dans un lieu de divorce avec l’assistance publique en s’éloignant de ses peuples. Quand les intérêts d’Etat et ceux des industrialistes se convergent, tous les moyens de résistance à la politique actuel deviennent plus ou moins impuissants.
Les actions d’un Etat bienveillant devraient être le reflet de la volonté de son peuple et devraient agir sur leurs problèmes. Il faut mettre en place un dispositif permettant le peuple d’inviter l’Etat à s’expliquer habituellement, systématiquement et à les éclairer sur ses intentions. En réciproque, les gens peuvent échanger avec l’Etat ce qu’ils attendent d’elle. Les conséquences doivent faire l’objet de discussions et de débats approfondis et ouverts liés à la sphère politique afin d’encourager ce qui est positif et de reprouver ce qui est négatif.
Pour sauvegarder la souveraineté de citoyens, il faut mettre en place une juridiction spéciale pour la défense de l’opinion. Les fautes et les manquements relevant d’une déontologie professionnelle nettement définie par les corps compétents doivent être sanctionnés par les juridictions en proportions avec la gravité de la faute. Pour que l’Etat se reconnaisse porteur, apôtre, gardien et défenseur d’idéaux nationaux il faut constituer un corps de doctrines bien définis. Une haute cours doit s’occuper de sanctionner des atteints portés au moral de la nation ou bien aux grands idéaux nationaux définis dans la doctrine.
Un corps législatif doit proposer la constitution d’un Ministère de la Propagande qui ait sur tous les autres compartiments ministériels, une autorité indiscutée, dès qu’il s’agit d’une mesure pouvant affecter le moral du pays. Il pourra toujours opposer son veto. La Ministère de la propagande en rapport directe de subordination et de contrôle avec la Présidence du Conseil s’occupera de la direction politique de l’ensemble des activités gouvernementales et spécialement de celles qui emploieront à influencer, orienter et stimuler l’opinion publique. Il fixera des règles communes auxquelles devront se plier toutes les initiatives régionales et locales de propagande. Pour aider ce corps à accomplir son but, un institut représenté par des élites civiques sera à sa disposition. Composé de penseurs, écrivains, savants s’inscrivant à des différents champs politiques et idéologiques, cet organisme sera en charge de présenter ses observations, ses suggestions ou ses critiques mais sans le droit de veto. Tous les plans de propagande devraient nécessairement lui être soumis.
C’est en engageant tous les corps de l’Etat-le judicaire, l’exécutif et le législatif que les nouvelles lois qui fournissent une vraie défense à la fabrication incontrôlée d’opinion pourront voir le jour.
Le remodelage de moyens de communication
Pour soutenir l’existence d’un modèle de propagande et pour que le peuple soient exclu de la gestion du pays et qu’ils restent des simples spectateurs, les militants de la propagande assurent que les moyens de l’information soient étroitement et rigoureusement contrôlés. Une vision convenable doit être à la disposition non seulement à la classe politique mais aussi aux citoyens. En effet, les ressources d’information pour tous doit être les mêmes.
Ce sont des grandes agences qui détiennent le monopole des medias. Evidemment leur seule intérêt est de chercher le plus de profit possible. Devenus des puissants instruments de conformisme moral, esthétique et politique, l’ensemble des médias permet d’implanter des idées et des sentiments par un martèlement continu sous formes de colorations affectives de l’image et du son, du slogan et des manifestes, mais développé et justifiée.
Les médias d’aujourd’hui promeuvent une politique de dissuasion en fabriquant des ennemies qu’il fallait anéantir pour se défendre. En plus, tout est disposé dans notre société pour que l’homme n’ait pas le temps de faire un acte d’intelligence, de réfléchir, de réagir ou de participer d’une manière quelconque.La concentration du contrôle sur les médias fait souvent obstacle au développement d’une démocratie politique. Le facteur structurel le plus important pour avoir un système de média démocratiques est de soustraire le plus possible le système au contrôle du milieu des affaires et au financement par la publicité. Le gouvernement devra prendre en charge une partie du financement, de l’espace public et au même temps, mettre au point une politique qui encourage la croissance d’un espace public à but non-lucratif, non commercial et indépendant de l’Etat. Le secteur non commercial ouvrirait forcément le journalisme et le secteur du divertissement à des thèmes et à des genres actuellement négligés ou ignorés. Ce pourrait obliger les géants de médias à enrichir t à élargir leur programmation.
Les médias commerciaux et la publicité devraient être soumis à un impôt afin de récolter de revenus pour des médias non-commerciaux. En revanche, un dispositif pour soustraire des entreprises privées se consacrant à la diffusion de la pensée ou de l’image qui sert à la régénération économique, sociale, et morale du pays doit être mise en place. Suppression radicale de tous fonds spéciaux, des versements secrets, des subventions occultes ; justification obligatoire de tirages ; tarif proportionnel à la clientèle ; règlementation de la publicité financière, mise en application des règles de journalisme, exécution des prix de vente permettant de couvrir les dépenses- tout un ensemble de mesures appropriées permettront l’Etat de soustraire la Presse à sujétions des puissances occultes. Pour le financement des médias la Ministère de la Propagande, dont nous avons parlé antérieurement, disposerait des crédits importants, à la fois régulières et substantielles avouées et honnêtes ouvertement inscrits au budget et destinés à encourager certaines initiatives comme courts métrages, recherches, publications, reportage et ainsi de suite.
Internet a ouvert des possibilités importantes dans le champ de communication démocratiques et progressistes, notamment pour les militants dont les médias commerciaux traditionnels limitaient l’expression. L’Etat doit tenter de donner le rôle prédominant à l’Internet dans le secteur de la télécommunication à but non-lucratif et sans fin commerciale. Le cinéma, moyen puissant à qui nous laissons envahir le champ de notre sensibilité doit contribuer au redressement politique, social, moral, spirituel de la nation en promouvant davantage des images qui fixent les principaux évènements de la vie nationale ou internationale, des films pour restaurer le culte des grandes vertus familiales.
Le remodelage de l’école
La propagande à nos jours a exigé la transformation radicale des méthodes pédagogiques et l’épuration des cadres enseignants. Condorcet dans son œuvre Mémoires sur l’instruction publique exprime « la liberté des opinions deviendrait illusoire si la société s’emparait des générations naissantes pour leur dicter ce qu’elles doivent croire. » L’Ecole peut grandement contribuer à donner à la nation des principes où se concilient tous les devoirs de la discipline volontaires et les droits d’une liberté disciplinaire. L’Ecole aurait fallu non seulement mettre à la disposition des élèves un cursus défini, mais leur enseigner aussi l’art de distinguer ce qu’il y a de l’essentiel dans les principes de ce qu’il y des mythes, savoir raisonner et à mettre en question la puissance et les idées rendu aisément assimilables en les gravant dans les mémoires. En résumé, au lieu d’être un moyen d’endoctriner nos générations, l’Ecole doit être un guide.
Le livre est un moyen auquel nous confions la justification rationnelle de nos systèmes et de nos doctrines. C’est au livre que nous demandons de répéter les leçons de l’histoire. Si nos livres au lieu d’être neutre tentent de susciter pour se répandre, s’ils manipulent la vérité aux intérêts de quelques uns, s’ils visent à condenser la sagesse humaine au lieu de la faire épanouir, le concept de démocratie deviendra illusoire. Il faut entretenir un climat favorable à la production intellectuel.
Aucune entrave législative ne vient contrarier les initiatives privées dans cette industrie du livre qui requiert des capitaux relativement importants. Néanmoins, les presses qui appartiennent aux universités telles qu’Oxford University Press, Cambridge University Press ont fournit un exemple louable. L’épanouissement de ces presses peut être une façon d’exalter la liberté d’auteurs intellectuels. Il faut avoir des instituts pour étudier des comportements humains d’études scientifiques et de l’opinion publique dont les résultats devront être publiés et répandu chaque année. Cela servira comme un atout supplémentaire pour la Ministère de la Propagande. Cet organisme permettra également aux gens de savoir leurs propres comportements dans la société.
Conclusion
Dans notre siècle, des grands mouvements notamment les mouvements écologistes, féministes et anti- nucléaires ont vu le jour. Le phénomène de l’éveil social existe malgré tous les efforts déployés pour maitriser le pense et fabriquer le consentement. Il n’y a pas de raison d’être pessimiste. Il faut seulement édicter des normes plus exigeantes que celles qui sont en rigueur. N’oublions pas qu’il s’agit d’atteindre la masse, et que le maigre contingent d’idées qu’on lui fera assimiler à travers une propagande humanisée dans ses intentions marquera le plus souvent pour chaque individu un enrichissement et pourra servir comme point de départ d’un travail intérieur de reflexe et d’approfondissement.
La politique de propagande est une politique de l’engagement de l’homme. C’est à travers plusieurs moyens de diffusion que l’Etat atteint son but. Cependant, il faut savoir qu’isolément chacun des grands instruments de diffusion de la pensée n’a pas grand efficace. Notre devoir est donc aussi de rendre chaque moyen de la diffusion autonome pour qu’un soit la critique de l’autre.
D’ailleurs, non seulement des institutions ou des individus subi à l’injustice ou victimes de propagande mais chacun qui soit un partisan de la liberté doit participer dans la propagande de liberté, dans le mouvement d’approfondissement de connaissances, de restructuration d’Etat parce que cette réussite ne peut pas être autre que partagée.
BIBLIOGRAPHIE
ELLUL, Jacques ; Propagandes ; Economica, Paris, 1990
CHOMSKY, Noam ; Propaganda (Traduit par Liria Arcal) ; Le Félin, 2002
CHOMSKY, Noam , Herman E. S. ; La Fabrication de l’opinion Publique ; Paris, Le serpent à plumes, Paris, 2003
CHOMSKY, Noam ; Propagande, Medias et la democratie ; Le Félin, 2000
Mémoire Confidentiel; Propagande-Définition, Defense, Explication ; Hérissey Evreux
1. jmdamien le 20-07-2008 à 21:32:04
Excellent article, bienvenu sur le blog.
édité le 20-07-2008 à 23:32:17
2. ptk49 le 21-07-2008 à 05:33:10 (site)
Après l'article que j'ai posté hier, je ne puis qu'être en accord avec celui-ci.
Un très bon développement, très intéressant et qui, je l'espère, stoppera bon nombre d'élans mécaniques, finement huilés par ceux qui nous gouvernent et leurs médias !
3. prachigupta le 10-08-2008 à 14:25:07 (site)
Merci Damien, Patrick.
C'est encourageant.
édité le 10-08-2008 à 16:25:45
4. emmanuel3927naaa le 12-08-2008 à 17:16:29
tres bon article mais à mon sens trop utopique. Seul à la Cité le peuple peut s'impliquer. mais à l'échelle étatique, il faut former une élite et se soumettre à elle. A l'instar de l'enfant, le peuple est perdu.
Emmanuel,
diplomé en géopolitique à l'université de Chicago.
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